“Ne laissez pas ce bébé s’approcher de moi !”. Pourquoi Brigitte Bardot est séparée de son fils unique et ce qui lui est arrivé

 “Ne laissez pas ce bébé s’approcher de moi !”. Pourquoi Brigitte Bardot est séparée de son fils unique et ce qui lui est arrivé

C’est sa mère, Anne-Marie, qui a remarqué sa belle silhouette et sa beauté. Elle ouvre sa propre boutique et fait défiler sa fille : un contrat avec le magazine Elle, qui présente la jeune Brie en couverture en 1949, la rend célèbre, et son désir d’apercevoir l’écran change sa vie.

Son premier amour a été Roger Vadim, un assistant réalisateur qui deviendra plus tard son mari, qu’elle a rencontré à l’âge de 15 ans lors d’un essai pour un rôle dans le film Breaking Bad. Ses parents sont contre cette liaison et Bree tente de se défouler sur son père, qui veut envoyer sa fille indisciplinée en Angleterre.

À 17 ans, elle a eu son premier avortement illégal. Elle a ensuite été hospitalisée pour une hémorragie et anesthésiée pour un arrêt cardio-pulmonaire. Elle a alors été sauvée. Cependant, un troisième avortement était déjà célèbre lorsque l’actrice de 25 ans a refusé de faire tout ce qu’elle demandait.

Le 18 juin 1959, Brigitte se marie pour la deuxième fois. C’était à un jeune acteur, Jacques Charrier. Au mariage, il y avait plus de journalistes que d’invités et la mariée a dû porter une robe à carreaux pour cacher son odieux ventre.

Bardot ne plaisantait pas sur ses talents d’acteur. Au lieu de se réincarner dans un personnage, dit-elle, elle dessine le personnage sur sa propre peau. Son plus grand atout était son apparence. Après le film “And God Created Woman”, l’actrice a immortalisé son corps mais a risqué de le perdre lorsqu’elle est tombée enceinte.

“Il était jaloux de sa femme, ne la soutenait pas et la battait même”, rapporte Bardot dans ses mémoires, Les initiales de BB. Un jour, alors qu’elle sortait pour se teindre les cheveux, son mari l’a poussée contre une armoire. Le bébé est sain et sauf, mais Brigitte s’est blessée au rein et a dû recevoir une injection de morphine pour calmer la douleur. Elle a alors commencé à détester son mari. Elle prend des somnifères et tombe dans le coma, et son mari, fils de colonel, se retrouve à la caserne, se taillant les veines pour ne pas partir à la guerre.

Bien des années plus tard, dans son livre “Une réponse à Brigitte Bardot”, Jacques Charrier écrit : “J’ai conservé une trentaine de lettres d’amour ardentes que Brigitte m’a écrites en 1959, exprimant sa joie d’avoir notre enfant. Il a également écrit que sa femme avait menacé de se tuer s’il partait à la guerre.

Les Charriers ont été harcelés par des journalistes et contraints d’accoucher à la maison. Une maternité est aménagée dans le manoir ; elle donne naissance à un petit garçon dans la nuit du 10 au 11 janvier 1960. Elle écrit : “J’ai enduré des souffrances physiques, des douleurs à peine tolérables dans sa vie et je les ai toujours acceptées.

 

Mais ce qui m’a rongé les entrailles et m’a fait passer de dix heures à deux heures cette nuit-là était au-delà de toute capacité humaine. J’ai crié comme un animal mortellement blessé, incapable de ressentir autre chose que la douleur, et j’ai crié de façon désintéressée. Les contractions se succédaient et je n’avais pas le temps de respirer. Quand on a montré le bébé à la mère, elle a crié : “Ne laissez pas ce bébé s’approcher de moi !”. Elle a refusé d’allaiter son nouveau-né. Le bébé a été remis à la nounou et à la belle-mère.

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